Grosse vache!

Madame V  (Pour des raisons légales le prénom est ici exceptionnellement omis) est une dame qui travaillait dans une épicerie comme responsable au niveau des caisses.  Durant son séjour de l’argent disparait sur une base régulière.  À son départ fait étrange tout arrête.  Aucun élément de preuve cependant ne peut relier madame au crime.  Par contre elle travaille par la suite pour un organisme à but non lucratif.  Elle pige et détourne allégrement dans l’argent comptant qu’elle en a la responsabilité.  Madame V est gentille et se rend indispensable mais elle est gourmande et c’est jamais assez!  De plus comme chez l’épicerie, elle  s’en est sortie les doigts dans le nez, comme tous les fraudeurs, madame passe à une autre étape.  Comme elle signe les chèques de l'organisme, elle en fait maintenant à son propre usage et à son propre nom.  L’école débute, Madame V aime flasher et montrer qu’elle a réussi dans la vie, or elle place ses enfants dans une (des meilleures) école privée de la région.  Cependant ses dettes croulent de partout et son conjoint ne sait rien.  Elle ne lui donne que quelques brides pour qu'il la  soutienne dans son rôle de pauvre victime.  Carte de crédit, cellulaire en retard et autres comptes, pour y arriver elle vole et fraude.  Bien sur pour les frais de scolarité, elle ne paye pas sa part (son ex-conjoint honorablement oui).  Elle paye donc à sa fille un ordinateur dont l’achat est fait avec... un chèque de l’organisme.  Lorsque qu’elle se fait prendre, elle joue comme toute les fraudeuses la victime (sa carte préférée) et a le culot de mentionner à l’organisme de lui donner une chance car ils sont la pour aider le monde!  Malheureusement parce qu'elle est gentille l'organisme ne porte pas plainte.  Dégeulasse! Pathétique notre Madame V, de plus elle consulte un avocat criminel bien connu ici à Granby et ne le paye pas. Il devra obtenir jugement pour la saisir.  Entretemps,  elle a besoin d’argent.  Elle tente ‘’LE COUP’’.  Elle poursuit un individu pour voie de fait sur son garçon de 12 ans  en prétendant  que ce dernier l’a frappé.  Le tout se rend au procès.  L’employé a été acquitté sans l’ombre d’un doute car, en plus des contradictions de l’enfant et des témoins,  il a été prouvé que l’héritier de madame, s’était battu à l’école privée ce jour là et qu'il aura fallu l'intervention d'un surveillant pour séparer les jeunes.  Cette école est client du bureau de crédit et Ah oui! 4 ans plus tard, l’école privé nous mandate pour récupérer les sommes dûes. Pour terminer, bien sur,, notre approche se fait dans les règles de l’art et madame fait des chèques sans provisions mais madame joue encore la carte de la victime, qu’on la harcèle.  Pauvre Madame Vache!

L’amour maternelle!

Suzanne a un enfant qui aurait présument des troubles de comportement.  Comme Suzanne est une bonne mère, elle aime son enfant.  Elle le protège (ou s’en sert comme excuse).  Elle travaille dans le milieu de la santé mais ne paie pas ses comptes. D’abord elle loue une maison mobile qui appartient à une cliente, une travailleuse autonome dans un salon de coiffeuse.  Cette honnête travailleuse gagne sa vie fort et honorablement mais doit payer l’hypothèque à la banque.  Non seulement sa locataire Suzanne ne paie pas son loyer mais quitte et laisse le logement dans un état de dommages avancés  (bain fendu, excréments au plafond, trous dans les murs, planchers finis, etc.).  Suzanne doit plusieurs mois de loyer et quitte laissant notre travailleuse avec des réparations importantes et un trou dans le porte-monnaie.  Suzanne, elle, morte de rire, se trouve facilement un autre loyer ici à Granby (malheureusement le propriétaire n’a pas enquêté).   Comme un Bougon a toujours plus qu’une créance impayée, une vitrerie de la région nous transfère également son compte. La vitrerie a remplacé, alors que Suzanne vivait dans la maison mobile louée, une porte patio apparemment  brisée par l’enfant de cette dernière.  Madame ne l’a jamais payé.  La facture est à ce jour encore impayée.  Finalement triste circonstance de la vie, madame perd son père.  Elle lui offre de très, très belles funérailles par l’entremise d’un de nos client mais encore la, une fois les funérailles célébrées avec tout le respect et professionnalisme de notre client, la facture demeure impayée.  Madame a un salaire mais elle menace maintenant de faire faillite présageant une perte pour nos trois clients.  Un gros deuil pour notre argent!  Quelle morale Suzanne, Bravo!

Sacré Maurice!

Maurice est un homme d’âge mûr. Il en a vu d’autre.  Maurice a un beau gros motorisé et habite dans le haut de la ville.  Maurice a un nouveau voisin.  Un jeune professionnel nommé Steve. Steve 26, sa conjointe 23 ans.  Le jeune couple budgètent l’achat le plus important de leur vie; cette belle maison.  Ils ont Maurice comme voisin.  Comme toute nouvelle maison ils doivent bien sur faire le terrassement mais la maison de Steve est plus haute géographiquement que celle de Maurice.  Alors que Steve paye un entrepreneur pour niveler son terrain, méchant Maurice se pointe pour se plaindre que l’écoulement (naturel) des eaux risque de ramollir son terrain entrée commune pour son beau motorisé.  L’entrepreneur offre aux deux parties de faire un muret de roche avec drain du coté de Steve pour palier à la problématique pour $800 chacun ($1600 total).  Maurice donne son accord à Steve et ce dernier donne son approbation à l’entrepreneur qui fait les travaux.  Quand vient le temps à l’entrepreneur de collecter Maurice, ce dernier refuse sous prétexte qu’il doit parler à Steve.  Avare, radin ou dégoutant, peu importe le terme, il nit son engagement en tentant de négocier avec Steve un rabais de plusieurs centaines de dollars en prétextant un surplus de terre nécessaire pour égaliser le terrain à Steve suite à la pose de ce muret.  Il rajoute pour se convaincre vouloir se faire rembourser une partie de clôture qu'il a mis sur la ligne arrière de la maison, pendant les vacances de Steve, pour protéger son motorisé sans l'accord de Steve.  Il aura fallu notre intervention de coaching auprès de Steve.  Une mise en demeure fût  livrée.  Maurice a finalement payé. Quand même dégoutant qu’un vieux radin avec un beau motorisé tente de f… un jeune couple.